Le marché immobilier en Bretagne post-crise sanitaire
L’activité immobilière dans la région a repris des couleurs, avec des chiffres comparables à l’activité de mai 2019.
Les effets de la crise sanitaire dus à la COVID19 sur le marché immobilier breton n’ont pas eu l’effet tant redouté des experts du secteur (à savoir, un effondrement du marché immobilier) : bien au contraire, après ces deux mois de confinement, les Français veulent plus que jamais investir dans la pierre.
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Une reprise dynamique du marché
Dès la levée du confinement et la reprise des activités, les acheteurs sont réapparus autant qu’avant dans les agences immobilières. Ces derniers ont eu deux mois pour réfléchir à leur projet d’achat de maison, et la crise sanitaire que nous venons de vivre en a poussé plus d’un à vouloir s’éloigner de la ville et se rapprocher de la nature. Les professionnels de l’immobilier n’ont pas constaté de hausse des prix significative pour le moment.
À vrai dire, les prix de l’immobilier en Bretagne augmentent depuis un certain nombre d’années, car la demande est supérieure à l’offre. Seuls 40% des négociateurs immobiliers ont bel et bien constaté une légère hausse des prix depuis la reprise.
Les maisons avec jardin sont de plus en plus plébiscitées
Les acheteurs sont de plus en plus nombreux à vouloir une maison avec d’une part un espace extérieur (qu’il s’agisse d’un jardin ou d’une terrasse), et d’autre part, un espace intérieur plus grand où ils ont la possibilité d’avoir leur bureau (pour les personnes qui travaillent à domicile).
On constate également un intérêt croissant des Parisiens pour la Bretagne, mais il est encore trop tôt pour dire si cette tendance va se confirmer. Quoiqu’il en soit, les Parisiens seraient plus intéressés par la Bretagne-sud et la Loire-Atlantique.
Pour en savoir plus:
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